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Pascal Depresle

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DES OSSELETS AU DESSERT

Voici donc un savoureux hommage à San Antonio et à son auteur Frédéric DARD.

Grâce à un duo improbable, Marx et Blondel, Pascal DEPRESLE nous invite à bord d’un train pas comme les autres, renouant sans complexe avec l’esprit des romans de gare.

À peine sur le quai et déjà les personnages nous bousculent. L’ambiance est là, ça chahute, ça se presse. Au coup de sifflet, on embarque dans cette histoire délirante et on prend rapidement place sur une banquette libre, bien assis, dans le sens de la marche. Les lignes filent avec le paysage. L’humour grince comme les essieux. On est brinquebalé et on aime ça !

Ici, le contrôleur à la bonhomie de Bérurier. Il vous poinçonne d’un sourire complice, votre ticket pour une direction inconnue.

« Qu’importe la destination, c’est le voyage le plus important ! »

Et quel voyage ! Un récit qui serpente dans notre esprit et se lit le temps d’un trajet. Un voyage dans le voyage.

Un roman qui vous égare avec bonheur sur les rails inattendus de rencontres impossibles.

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LE TEMPS SE PASSE BIEN DE NOUS

Pascal DEPRESLE,

nous présente avec ce recueil,

un singulier sablier du temps.

À bien y regarder,

ce ne sont pas des grains de silice

qui s’y écoulent,

mais des mots.

De ces mots qui s’égrènent

au fil des pages

se frottent et glissent le long

de la paroi de nos souvenirs.

Autant de mots que de secondes dans notre passé.

Autant de mots que de minutes dépassées.

Dans cette étrange plongée

de sensations entassées.

Le temps se passe bien de nous.

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J'AI TROP TRAÎNÉ SOUS LA PLUIE

Ce sera le titre de ce récit.
Parce qu’il me reste encore des gouttes qui ne veulent pas partir, ni de ma peau, ni de mes yeux, parce que le soleil, qu’il soit de n’importe quelle saison, ne sèche jamais vraiment tout à fait ce qui est fait de chair et de sang, ce qui est fait de blessures et de cicatrices, de douleurs et de souvenirs.
Ces souvenirs que je viens vous livrer ici.
Un éditeur, à qui j’en avais montré la première version, m’avait mis en garde sur le fait de ne pas en faire un long cortège funèbre, puisqu’il y trouvait également de la lumière. Promis, je vais m’y atteler, mais ne m’en voulez pas si vous trouvez que, par moment, la vie est cruelle, trop cruelle, je ne choisis pas les couleurs qui dansent autour de moi quand mes souvenirs s’en viennent toquer à la porte de mon inconscient. Dans ces moments, je revois les visages rieurs, les enfants, les moins jeunes, les buveurs qui parlaient fort, ceux, les taiseux, qui n’en disaient mot, mais n’en perdaient pas une miette.

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